Commentaires ouverts en juin 2014:
Votre réponse plus ou moins littéraire
- Martine (lecture du jour 17 ), le 20 novembre 2014 à 19 heures 52 : Je ne me sens plus la force de quitter cette contrée dont le sol eil me rajeunit un peu ; mais je vous jure que je ne survivrai pas à cette malédiction qui m'écrase, (contre laquelle je n'ai d'autre recours que d'impuissantes révoltes et le désespoir qui me ronge dans cet isolement immérité !...
Je ne peux pas forcer les gens !... Que faire, mon Dieu !
- Bety (souvenir 2), du 21 novembre 2014 vers 11 heures 29 : En face, l'instituteur avait posé la soucoupe sur son verre.
Et c'étaient là les seuls faits qu'il pût détacher sur l'uniformité de son existence, la mort de ses parents, ses voyages, l'amitié de Vassal, la perte des dix mille francs ! Pas un éclat, pas une honte; une honnêteté limpide, une carrière irréprochable.
- Aline (avis 1), du 20 juin 2014 à 10 heures 14 : Cette réserve, qu'on qualifiait de hautaine froideur, avait éloigné de lui la sympathie des habitants de Saint-Marlin-le-Gélat.
Ceux qui écoutaient cette déclaration se regardèrent en souriant comme si leurs soupçons venaient d'être confirmés par un irrévocable témoignage.
- Pierre (remarque 4), du 23 juin 2014 à 13 heures 17 : Moi, dans huit jours, à la Saint-Cloud, le sept de ce mois, j'aurai cent deux ans.
Oui, moi, à la Saint-Cloud, cent deux ans.
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