Le monde de l’édition plie mais ne casse pas encore.
Je reste l'un des seuls écrivains indépendants pouvant narguer les installés et même rire ouvertement de l'histoire PPDA et des autres prétendues sommités.
J'ai conceptualisé la dérive du monde de l’édition en le comparant à celui de la musique.
Dans les deux cas, les créateurs se font rouler dans la farine par ceux qui les ont exploités durant des décennies et souhaitent continuer à s'engraisser sur la création d'artistes qui n'osent pas l'indépendance.
Votre réponse plus ou moins littéraire
- Martine (lecture du jour 15 ), le 22 novembre 2014 à 9 heures 36 : J'ai droit a l'estime de mes semblables.
J'ai quitté, très jeune, mon pays natal. J'ai beaucoup voyagé.
- Pierre (remarque 3), du 22 juin 2014 à 12 heures 16 : Je suis riche. Je désire, consacrer ma fortune et toutes les lumières dont je puis disposer à mon pays d'adoption.
Je vous en supplie, messieurs, dites-moi le motif de cet ostracisme.
- le 25 janvier 2011 à 15 : 20
par céline : bonjour,
je découvre votre démarche et j'aimerais bien faire comme vous.
c'est encourageant de savoir que c'est possible
merci
céline
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